Présentation - Galaën

 
 
Pseudo en jeu : Galaën ou Gala pour les intimes
 
Niveau actuel : 31
 
Race : Elfe de la nuit
 
Classe : Druidesse
 
Spécialisation : Feral/Restau
 
Métiers : Cueillette et Alchimie
 
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J’ai commencé à jouer à WOW sur Vanilla, je crois en Décembre 2004 à l’époque où j’étais inscrite au « Jeu en réseau » à la maison des jeunes de ma ville  (Première expérience de MMORPG avec DAOC pour ceux qui connaissent). J'ai fait mes premiers pas sur Conseil des Ombres, le côté RP et le JcJ m'a beaucoup plus. Et puis j'ai fait la connaissance de Mimijolie -lors de l'événement mondial à Reflet-de-Lune, GROS RAID)- et j'ai ensuite intégré les Enfants de la Forêt dont j'ai de super souvenirs. À l’époque, je partageais le PC avec mon frère donc c’était un peu compliqué pour évoluer mais j'ai eu un ordi portable pour mon BAC donc j'ai pu nolifer en paix (désolée je raconte ma vie). J’ai un peu laissé de côté au début de mes études et je m’y suis remise plus sérieusement en 2009 avec WOTLK que j’ai bien aimé, mais j’ai arrêté d’un coup après Cataclysme (grosse déception). J'ai testé par intermittence WOD et Légion mais sans plus. L'expérience de jeu n'était plus vraiment la même.

 
Parlez-nous de votre expérience JcJ (sauvage, CdB, arènes, combats côtés...).


Ayant évolué sur un serveur JcJ JdR j’ai eu la chance d’observer et de participer dès le début à des raids sauvages sur les capitales hordeuses et autres. Ça fait partie de mes meilleurs souvenirs de Wow. J’aimais bien les Goulets et Arathi, mais quand j’ai migré sur Kael Thas j’en ai très peu fait.
Je suis toujours partante pour aller mettre une raclée (ou m’en prendre une) ou pour rappeler à nos ennemis qu’on est là, je ne suis pas de nature belliqueuse et n’engagerai pas forcément moi-même le combat, sauf si provocation et/ou coup de folie RP.
 
Parlez-nous de votre expérience JcE (donjons, raids, jeu en groupe, etc.).


Je suis assez casu, je ne suis pas fan mais j’aime de temps en temps pour me STUFFER (Zul Farak surtout, beurk le Mona). Je préfère cependant largement le jeu d’exploration avec les quêtes et la vadrouille ici et là donc on me verra beaucoup plus en solo à arpenter les différentes régions du monde qu'à chain les instances. J’apprécie néanmoins le jeu en groupe, surtout sur base RP ou PvP. Comme mentionné précédemment, mes expériences en raids font partie de mes meilleurs souvenirs de Vanilla.
 
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Nom complet : Galaën Finnarian, la Blanche Argent
 
Sexe : Féminin
 
Âge : Inconnu, mais estimé à 120 environ
 
Taille : Petite pour les standards elfes
 
Corpulence : Athlétique
 
Profession : Scribe, apothicaire et linguiste pour le Cercle Cénarien
 
Lieu de résidence : Havrenuit, Azshara ou plus récemment Stormwind
 
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Profil sommaire :

Farouche et curieuse, Galaën est aussi loyale qu'indépendante. Elle doit son côté solitaire et sauvage à des années passées à survivre seule dans la nature parmi les créatures de la forêt. Elle est donc souvent plus à l’aise en leur compagnie où elle ne se sent pas obligée de parler, et aime évoluer sous ses formes bestiales. Elle tient à sa liberté comme à sa raison d’être mais n’hésitera jamais à traverser les continents et braver mille dangers pour venir en aide à ses compagnons. À l’instar de ses semblables, elle possède un haut sens de l’honneur et de la justice. Mais contrairement à eux, elle tient en estime les jeunes races et les fréquente beaucoup plus que ses frères kaldorei, dont l’arrogance l’exaspère. Elfe de peu de mots – souvent maladroits d’ailleurs– elle écoute discrètement dans son coin d’une oreille attentive. Elle a le rire facile (même si parfois personne ne comprend ce qui était si drôle), la descente rapide (mais ne tient pas trop l’alcool), et un penchant pour les mets sucrés.
Les Orcs la répugnent tant qu’après chaque rencontre, elle passe un temps fou à se lécher les griffes pour se débarrasser de leur odeur abjecte.



Histoire (prenez une chaise et installez-vous confortablement) :
 
[HRP] GG à ceux qui iront jusqu’au bout… Je suis assez novice en RP au final, mais j’ai commencé à réfléchir à l’histoire de mon perso au fil des années sans jamais avoir vraiment pris le temps ni eu l’occasion de l'étoffer ni de la mettre au propre. J'ai pondu ça pendant mon temps libre. Désolée pour le pavé et les possibles coquilles - soyez indulgents ! [/HRP]
 
1.
Tout ce dont elle se rappelle, c’est s’être réveillée seule, lors d’une nuit claire, dans les bois qui bordent la Furie-du-Sud, surplombant la lisière d’Orneval.
Son nom est le dernier survivant d’une vie dont elle peine à se souvenir et les événements précédant cette nuit restent un mystère. Galaën avait alors une soixantaine d’années, si peu pour une jeune elfe qui commence à peine à pousser.
Livrée à elle-même et ne sachant ni où elle se trouvait ni qui elle était, elle passa quelques temps d’errance à reprendre des forces et survivre tant bien que mal sur les terres escarpées et inhospitalières à l’ouest d’Azshara.


Son immense résilience et son rapport intime avec la nature ne passèrent pas inaperçus aux yeux d’une tribu locale de furbolgs affiliée aux Grumegueules, les derniers de leur espèce à avoir échappé à la folie de leurs frères et préservé les traditions chamaniques ancestrales.
Après avoir surveillé l’elfe de loin, les furbolgs, d’abord méfiants, finirent par tolérer sa présence dans les clairières sacrées. Ils la baptisèrent Finnarian, la « Blanche Argent », à cause de son teint de lis et de ses cheveux leur rappelant l’éclat de la lune.

Le plus sage d’entre eux, Migosh, sentit chez Galaën une prédisposition pour suivre la voie sauvage et apprendre le langage des animaux. Son isolation prolongée l’avait rendue cependant nerveuse. Il dut s’y prendre à plusieurs fois avant de parvenir à établir un moyen de communiquer avec elle, l’un et l’autre ayant un répertoire très limité en darnassien. Un lien se tissa entre eux, mais elle ne pouvait pas rester indéfiniment dans cette situation. Motivé par une bienveillance grandissante à l’égard de l’elfe désormais adolescente, une idée murit dans son esprit : la conduire à travers le tunnel de Grangebois jusqu’à Reflet-de-Lune, afin de la confier au soin des druides de son espèce. Ces derniers pourraient lui réapprendre à vivre auprès de son peuple et approfondir sa connexion avec la nature.
La route étant longue et périlleuse, Migosh demanda la permission au doyen de l’emmener lui-même. Soit, ce serait chose faite. Une quinzaine d’années après son éveil (certes un battement de cils pour les elfes), Galaën allait enfin retourner parmi les siens.


2.
Ils franchirent la Furie-du-Sud à l’aube, le soleil disparut rapidement derrière la canopée. Ils commençaient à s’enfoncer dans Orneval. La voûte de la forêt s’épaissit, l’air devint étouffant, l’atmosphère oppressante. Galaën avait l’impression désagréable qu’une ombre les suivait à distance.
Bientôt, les arbres aux racines pourries, le sol fétide et les effluves âcres de Grangebois accueillirent leur traversée. L’ombre avait cessé de les suivre, mais ce nouveau paysage inquiétant les pressa à avancer. Grâce à Migosh, mine de connaissances et figure de sagesse parmi les siens, ils arrivèrent après plusieurs jours à l’entrée du tunnel.

Les furbolgs, habitués aux quelques voyageurs exercés ou bien imprudents pour s’aventurer dans ces coins damnés du monde, furent surpris de voir une elfe aussi jeune se présenter devant eux. Hostiles et suspicieux face à un tableau si insolite, ils mirent Galaën dans une cellule souterraine creusée dans le duramen de leur arbre-tanière, en attendant de décider de son sort.
La nuit fut longue. Au terme de plusieurs conseils où Migosh plaida en faveur de la jeune elfe, les Anciens des Grumegueules, menés par Nafien, acceptèrent de la remettre aux druides à la première occasion.


3.
Celle-ci se présenta lorsque Malvor, chef herboriste du Cercle Cénarien et ami des Grumegueules, emprunta le tunnel au retour d’une expédition au Berceau-de-l’Hiver.
Nafien salua l’elfe, qui comme à son accoutumée s’arrêtait en passant pour leur livrer une partie de sa cueillette – les herbes tendres et succulentes avaient depuis longtemps cessé de pousser dans cette contrée rongée par la corruption. Il ne comprit pas tout de suite la lenteur voulue de la transaction et leva un regard confus vers le chef furbolg. Celui-ci fit signe vers l’entrée et Migosh s’avança dans la pièce, suivi de près par Galaën, angoissée et la gorge serrée.

Migosh poussa l’elfe traînant des pieds dans la lumière afin que Malvor puisse l’examiner : les années de survie avaient certainement laissé des traces sur le visage autrement délicat de la jeune elfe. Dans ses yeux brûlait une bestialité intimidante où la profondeur de la nuit faisait danser les étoiles. Une aura mystique et fauve mêlant la sagesse des siècles aux élans éperdus de la jeunesse lui donnait l’air d’avoir bien plus que son âge. Pas loin d’achever sa croissance, elle était pourtant plus petite que la plupart des elfes bientôt adultes, mais sa silhouette athlétique et robuste n’en était pas moins imposante. Les sourcils froncés, elle tentait de soutenir le regard inquisiteur de l’elfe et ses lèvres dures frémirent lorsqu’il esquissa un sourire.

Ce n’était pas la première fois que Malvor ramenait des frères et alliés égarés ou blessés à Reflet-de-Lune, mais cette rencontre pour le moins incongrue l’avait pris de court. On aurait beaucoup de questions à Havrenuit, mais on s’occuperait d’y répondre en temps et en heure. Là-bas, chaque chose prenait le temps qu’il fallait, ni plus ni moins. Et pour l’instant, tout ce qui comptait était de la ramener au Cercle Cénarien.

Avant de se quitter, Migosh lui donna une baguette sensée rappeler leur amitié aux autres tribus d’ursa disséminées de par le monde. Un dernier adieu à son ami avec la promesse qu’ils se reverraient, Galaën emboîta le pas assuré de Malvor et franchit la sortie du tunnel. Les vagues d’émotions venaient s’entrechoquer contre son cœur, prêtes à le submerger. La sentant fébrile, Malvor la prit doucement par la main pour la rassurer. Ce contact tactile inattendu, totalement étranger et non sollicité, fut la goutte de trop et l’elfe s’évanouit. Malvor éclata de rire - lui qui pensait avoir toujours su comment s’y prendre avec la gente féminine… Il souleva la jeune elfe et remonta tranquillement les berges du lac Elun’ara.

À son arrivée à Havrenuit, Malvor se rendit directement voir My'lanna au refuge où il y avait toujours des chambres prêtes et des plats sur le feu pour accueillir les visiteurs fourbus. Galaën entrouvrit brièvement les yeux au moment où Malvor la déposa sur un lit douillet et, se laissant envahir par l’odeur évocatrice des chaudrons mijotant et la chaleur réconfortante du foyer qui crépite, elle lâcha enfin prise et s’abandonna au sommeil. Le clair-obscur éternel du lieu aidant, elle dormit plusieurs jours d’affilée, comme pour rattraper un quota de repos accumulé toutes ces années. Parfois, en dormant, des larmes roulaient sur ses joues rosies.


4.
Pendant plusieurs années, Galaën réapprit progressivement à parler darnassien et certains dialectes du monde vaste, elle savait se vêtir convenablement et élaborer des plats basiques, dont elle avait pris goût - elle n’avait jusque-là connu presqu’exclusivement des mélanges de baies et de racines écrasées (une déficience nutritionnelle qui avait sans doute freiné sa croissance).

Umber, le seul humain résident de Reflet-de-Lune, ravi d’une distraction bienvenue et inspiré par sa curiosité insatiable (la plupart des habitants du village n’étant pas très bavards), se chargea de lui parler des histoires du monde et des ennemis de l’Alliance, sujet qu’il maîtrisait sur le bout des doigts et qui entraînait beaucoup de digressions nostalgiques rendant le récit décousu, mais pas moins intéressant. Loganaar la prit sous son aile pour lui enseigner les fondamentaux de la voie sauvage. Les furbolgs avaient eu raison, elle se montrait prédisposée à suivre ce chemin. Elle ne revit pas Malvor tout de suite car il s’absentait régulièrement pour refaire les stocks du Cercle cénarien et assumer les commandes de la capitale. Elle enviait ses voyages. Elle lui rendit finalement visite après quelques mois et, se sentant redevable envers lui, lui offrit ses services. Il la prit donc comme apprentie et lui enseigna son art. S’étant pris d’affection pour sa jeune protégée, il aimait beaucoup la taquiner. Malheureusement, ses plaisanteries et sous-entendus tombaient souvent à plat, et pour cause : malgré son adaptation rapide, le manque soutenu d’interactions sociales avait laissé des lacunes en matière de « relationnel » chez Galaën, c’est ce qui lui prenait le plus de temps à apprendre ! Il faut dire que les druides du sanctuaire, certes attachés à la jeune elfe et plein de bonnes intentions, ne pouvaient remplacer la compagnie des autres de son âge.
Et puis, elle commençait à se poser des questions sur ses origines et son passé. Umber l’avait aidée à consulter les registres, aucune disparition reportée aux abords d’Orneval, aucune bataille mentionnée à cette période. On spéculait, les embuscades et attaques des orcs étaient monnaie courante depuis longtemps, trop nombreuses pour être toutes répertoriées… Mais l’endroit où elle s’était retrouvée était le détail qui le laissait perplexe – une région désertée des elfes depuis bien longtemps. Enfin… la guerre avait laissé dans les deux camps des centaines de milliers d’orphelins, elle ne serait pas la première ni la dernière à ignorer d’où elle venait.
Elle ne voulait pas se résigner à l’idée de subir son destin. La voyant pensive et agitée, Umber finit par suggérer qu’elle retourne, lorsqu’elle serait prête, sur les terres de son errance pour prospecter et voir si les souvenirs lui reviendraient. En attendant, elle ne pouvait demeurer éternellement ici, son apprentissage terminé, elle était désormais en âge -même si on ne pouvait le vérifier avec exactitude- de s’enrôler dans les services extérieurs du Cercle cénarien, où elle serait d’ailleurs plus utile qu’à croupir à Havrenuit, village figé dans le temps.


5.
Malvor avait une requête toute spéciale à délivrer à Darnassus et il avait vendu les mérites de sa chère apprentie auprès d’Ainethil, alchimiste émérite, dans l’espoir qu’elle consentirait à la former.
C’était le prétexte parfait et cela tombait bien, la lumière du jour commençait à lui manquer cruellement. Acceptant volontiers cette mission, elle remercia tous ses maîtres et protecteurs, envers qui elle avait une dette éternelle. Elle leur rendrait visite régulièrement, et pas seulement pour leur transmettre ses rapports.

Elle se présenta au perchoir des griffons. Très peu sûre d’elle, elle se cramponna à l’encolure d’une de ces bêtes majestueuses, et d’un claquement de langue de sa maîtresse, l’auguste créature prit son envol d'une puissante impulsion de ses pattes arrières. Pour un premier baptême de l’air, elle ne se débrouillait pas trop mal.
La créature s’éleva finalement au-dessus des cimes, la forêt disparut derrière eux, dévoilant soudain l’horizon.
La brise jouant dans sa chevelure, Galaën se trouva directement face au soleil. Plissant les yeux, elle admira les éclats argentés qu’il jetait sur la mer en-dessous d’elle. Elle se mit à sourire, cette liberté retrouvée la remplit d’un nouvel espoir. Elle était prête à prendre en main son destin.
 
-          À suivre

 
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Prénom : Gwladys
 
Âge : 30
 
Battle-tag : Galaën#2857
 
Vos disponibilités : Je ne suis pas une gameuse hardcore donc c'est variable. Je dirais en journée et le soir (à noter que j’ai une heure de décalage par rapport à la France). Cela dépend principalement de mon taffe car je bosse en freelance et je ne suis pas un timing régulier. Un gros projet peut me tomber dessus sans crier gare. Donc c’est pas toujours facile de me projeter loin dans le planning !
 
Comment avez-vous connu notre guilde ? Par l’intermédiaire de deux anciens compagnons des Enfants de la Forêt, Bolghorn et Mimijolie
 
Pourquoi choisir notre guilde ? Le background RP est intéressant et je joue surtout pour le PvP sauvage et ne pas me prendre la tête, jouer en convivialité en somme, ce qui semble être au cœur de la guilde, sauf si je me trompe.

Que souhaitez-vous apporter à la guilde ? De la bonne humeur, un humour douteux peut-être. Une loyauté à toute épreuve.
 
Avez-vous Discord, et disposez-vous d'un micro ? Je viens de créer un compte, je ne sais pas trop comment ça marche, j’avais l’habitude de TeamSpeak (c’est pareil ?) mais je n’active quasi jamais mon micro, j’ai toujours trouvé que cela cassait un peu le RP mais sur KT je l’utilisais s’il fallait pour les donjons en guilde etc.

Comment comptez-vous pratiquer le jeu de rôle dans la guilde ? Du mieux que je peux ! J’avais commencé sur CdO mais ayant ensuite migré sur KT, je n’ai pas vraiment eu l’occasion de me faire la main… alors que c’est un aspect du jeu que je trouve plus intéressant que le « stuffage » intensif, par exemple.
 
Avez-vous lu, et acceptez-vous la charte de guilde ? Oui et oui
 
Même les petits caractères ? Malfurion m’en soit témoin !

Bonjour Galaën, et bienvenue sur le forum !

Alors, pour répondre en vrac :
- oui, tu trouveras effectivement tout ton saoul de JcJ sauvage et de JdR dans cette guilde. En tout cas, c'est effectivement le but que nous nous donnons aussi. ;-)
- pour le Discord, c'est un outil qui permet plein (trop ?) de choses... mais c'est surtout un outil sur lequel on invitera les co-guildés à écouter les consignes du chef Bolghorn, lors des sorties JcJ, histoire d'être un minimum coordonnés !
- pas de soucis pour tes dispos. On fait tous en fonction de notre "IRL" respectif, qui doit passer avant toute chose.

Magnifique pavé, j'ai tout lu ! Très bien écrit. Et pour quelqu'un qui se dit novice en la matière, c'est très bien amené... et extrêmement détaillé, bravo !
Pour le côté cohérence, j'avoue qu'il y a de gros soucis avec la trame temporelle, mais il faut connaître l'histoire de Warcraft en détail pour le savoir (par exemple, dans WoW, nous sommes 4 années après la fin de la 3e guerre (cf. campagne du RTS Warcraft 3). En d'autres termes, 10 ans auparavant, les royaumes de l'est n'ont pas connaissance de Kalimdor, et inversement (à quelques exceptions près), Gangrebois est une magnifique forêt sacrée, aussi fournie qu'Orneval, il n'y a aucun orc sur ce continent avant l'arrivée de Thrall quelques années auparavant, et le refuge du Reflet-de-Lune n'héberge donc encore que des elfes de la nuit).
Mais comme c'est bien le bazar dans le Lore créé pour le jeu, et que le gameplay empêche de recoller correctement une trame temporelle, on peut faire abstraction. ;-)
(et promets moi de ne pas vouloir tout réécrire suite à mes remarques. Ce n'est pas une critique, juste une observation sur la timeline de l'univers du jeu parois difficile à appréhender)

Dans tous les cas, un avis très favorable pour ma part !

À très vite en jeu !

Bonjour et merci à toi Buchette.

Buchette a écrit:Alors, pour répondre en vrac :
- oui, tu trouveras effectivement tout ton saoul de JcJ sauvage et de JdR dans cette guilde. En tout cas, c'est effectivement le but que nous nous donnons aussi. ;-)
- pour le Discord, c'est un outil qui permet plein (trop ?) de choses... mais c'est surtout un outil sur lequel on invitera les co-guildés à écouter les consignes du chef Bolghorn, lors des sorties JcJ, histoire d'être un minimum coordonnés !
- pas de soucis pour tes dispos. On fait tous en fonction de notre "IRL" respectif, qui doit passer avant toute chose.

Noté pour Discord, si c'est pour écouter les ordres de Bolghy alors ça me va parfaitement !
Pour les dispos IRL c'est surtout que comme je taffe de chez moi c'est plus facile d'être co en journée toussa.

Buchette a écrit:Magnifique pavé, j'ai tout lu ! Très bien écrit. Et pour quelqu'un qui se dit novice en la matière, c'est très bien amené... et extrêmement détaillé, bravo !

*rougit* Merci d'avoir lu jusqu'au bout (euh, j'étais partie pour continuer encore pas mal) et pour tes commentaires! J'avais un peu peur d'en faire trop mais si ça passe alors...

Buchette a écrit:Pour le côté cohérence, j'avoue qu'il y a de gros soucis avec la trame temporelle, mais il faut connaître l'histoire de Warcraft en détail pour le savoir (par exemple, dans WoW, nous sommes 4 années après la fin de la 3e guerre (cf. campagne du RTS Warcraft 3). En d'autres termes, 10 ans auparavant, les royaumes de l'est n'ont pas connaissance de Kalimdor, et inversement (à quelques exceptions près), Gangrebois est une magnifique forêt sacrée, aussi fournie qu'Orneval, il n'y a aucun orc sur ce continent avant l'arrivée de Thrall quelques années auparavant, et le refuge du Reflet-de-Lune n'héberge donc encore que des elfes de la nuit).
Mais comme c'est bien le bazar dans le Lore créé pour le jeu, et que le gameplay empêche de recoller correctement une trame temporelle, on peut faire abstraction. ;-)
(et promets moi de ne pas vouloir tout réécrire suite à mes remarques. Ce n'est pas une critique, juste une observation sur la timeline de l'univers du jeu parois difficile à appréhender)

Hahaha, ça ne m'étonne pas. Désolée pour les anachronismes et incohérences temporelles, je n'ai jamais bûché (clin d'œil) l'histoire avec assiduité et même si j'avais vu des potes jouer à Warcraft III je n'ai pas du tout suivi la trame... *regard coupable* :/ Voilà, j'ai basé la bio sur le Lore du jeu et la configuration de la carte de WoW telle qu'elle est au début de Classic, sans me poser trop de questions... J'espère que ce n'est pas trop choquant. J'avais adoré le design et l'ambiance de la région Azshara (avant Cata) et du coup j'avais voulu relié mon perso avec.

Merci pour l'accueil )